randos à partager, plaisir de découvrir des paysages, terroirs et histoires locales
Et nous voilà arrivés à bon port, ou plutôt aéroport. Ici pas de chichi, pas de passerelle, descente directe sur le tarmac. D'entrée la température, les fleurs
nous donnent le sourire. Après c'est un peu cafouillis...où est la sortie ? Il faut remplir des cartes de débarquement, prendre des files d'attente pour présenter notre passeport, récupèrer les
valises...c'est un peu la pagaille : sur les tapis roulants les valises tournent, se coincent, tombent...le principal c'est qu'elles soient bien là, comme c'est le ca
s, nous pouvons un peu prendre le temps de souffler et découvrir le
décor. La descente amorcée par l'avion en virage au-dessus de la ville nous a fait découvrir "la ville ocre", côté tarmac la façade de l'aéroport est conforme, mais côté sortie, elle est blanche,
en alvéoles, architecture mod
erne
.
Premier contraste qui donne le ton de la ville.
Tous les hôtels, Ryads et agences touristiques ont délégué leur personnel qui scrutent les arrivants en présentant leurs pancartes, c'est amusant . Nous trouvons sans peine ceux de Marmara en rouge-orange, bien organisés qui nous demandent nos noms bien listés sur leurs documents et rejoignons le car qui dessert les hôtels Ryad Mogador.